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Tapis rouge pour Olga de Amaral

Pressez-vous jusqu’au 16 mars à la Fondation Cartier, avant sa délocalisation du boulevard Raspail au Palais-Royal, en automne 2025.
La Fondation accueille l’exposition de Olga de Amaral, une artiste colombienne des années 1960, qui travaille les limites de l’art textile. L’exposition met à l’honneur son travail envoûtant et nous plonge dans l’univers de l’artiste inspiré par sa relation avec la Colombie. Au cœur de ces œuvres, marquées par
l’utilisation de la feuille d’or et des couleurs vibrantes,
l’organisation des 80 œuvres présentées, promet au public des espaces de médiation. Une réelle expérience contemplative de laquelle on sort désorienté·e, comme à la fin d’un rêve.

Un art contemporain sans limite ?

Si les artistes s’exposaient à l’opprobre en cas de déviance vis-à-vis des mœurs, cette situation n’est pas moins vraie aujourd’hui. Effectivement, les œuvres n’ont jamais été autant controversées. Des sentiments parfois contraires jaillissent face à certaines pièces bouleversant les canons artistiques traditionnels. Ainsi, la valorisation des interprétations audacieuses plutôt que du pur esthétisme semble être de mise. 4’33 de J. Cage, ou encore la modernisation des memento mori par D. Hirst en sont des manifestations.

Bilan carbone des stars

DJ Snake, Rammstein, Tom Cruise sont connus dans la monde entier pour leurs musiques, leurs concerts ou leurs films, mais moins pour leur bilan carbone. Le blog BonPote questionne la relation entre culture et environnement, qui ne tend pas vraiment vers la sobriété. À l’heure de la crise climatique, impossible de fermer les yeux sur des aberrations écologiques qui coûteront cher dans l’avenir. L’article est à lire ici.

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Livres

Dans cette première chronique d’une série de cinq épisodes, Lou nous parle de l’impact des GAFAM sur le monde de l’édition et des librairies. Leur domination sur le numérique bouleverse les équilibres du secteur, obligeant les acteurs traditionnels à s’adapter pour survivre face à cette concurrence féroce.

Zone libre

Dans l’imaginaire tout est permis. Humaine polymorphe, rouages chantant et âme de bois poli. Le temps de cinq minutes, on plonge dans le monde des histoires. Enveloppé·e par d’autres mots que ceux de notre quotidien, porté·e par le bercement de la femme instrument.

Arts

Immersion dans l’exposition « Le Salon des Songes » d’Ines di Folco Jemni, au gré des pensées de Clémence Carel. Profitez de la ballade, car c’est la dernière chronique de cette série !

Cinéma

Mercredi 12 février. Il pleut, il fait froid et The Brutalist sort au Cinéma. Il y a très peu d’attente de mon côté. 3h30 de film situé dans l’après guerre ; ça me rappelle dangereusement Oppenheimer… Et j’ai très peur d’avoir à regarder des hommes à chapeau en train de parler de béton.

Arts

Depuis la réouverture de Notre-Dame de Paris, le 8 décembre 2024, les visiteur·euses ont de nouveau l’opportunité d’admirer la splendeur de la cathédrale, dont les vitraux restaurés jouent un rôle central dans cette redécouverte émouvante de l’édifice emblématique. Ce moment marquant nous invite à replonger dans l’univers fascinant des vitraux.

Arts

Découvert lors de l’exposition « Après l’Éclipse », le film de Zine Andrieu (2023), a su marquer l’esprit de Clémence Carel. Un Monstre sans nom se fait riche de ses mots dans l’avant-dernière chronique d’une série de cinq épisodes.

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